
Une leçon de courage
Hommage à Hélène Pelletier-Baillargeon (1932-2025) Mais si l’idée de l’indépendance s’effiloche, l’instinct de survie m’étonnera toujours dans les paradoxes de ses revirements1. Je n’ai pas
Vous trouverez dans cette section plus de 1500 articles de fond, des éditoriaux, des dossiers, des comptes-rendus, des vidéos, des extraits audios, des œuvres de couverture, des événements et bien plus encore !
Pour les articles publiés de 1917 à 2004, consultez le site de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ). Pour en savoir plus sur notre histoire, consultez le Site du 100e anniversaire de L’Action nationale.
Pour voir le contenu réservé aux abonnés, ouvrez une session.
Hommage à Hélène Pelletier-Baillargeon (1932-2025) Mais si l’idée de l’indépendance s’effiloche, l’instinct de survie m’étonnera toujours dans les paradoxes de ses revirements1. Je n’ai pas
Loin d’être marginale, la trajectoire d’Hélène Pelletier-Baillargeon s’avère plutôt caractéristique d’un certain rapport des femmes à l’histoire qui s’observe, d’ailleurs, aussi bien au Québec qu’au Canada anglais ou en Europe
Hommage à Hélène Pelletier-Baillargeon(1932-2025) Discours prononcé le jeudi 24 septembre 2015, en présence d’Hélène Pelletier-Baillargeon et de ses proches pour souligner sa contribution exceptionnelle à la
Rendre hommage à l’intellectuelle marquante qu’aura été Hélène Pelletier-Baillargeon pour la genèse du Québec contemporain ne peut se concevoir sans faire mention de ses années passées à Maintenant. Cela serait d’autant plus inconcevable que, durant les années 1960 et 1970, cette publication s’associa à des causes comme le féminisme, la laïcité et l’indépendance du Québec, que l’intellectuelle prit particulièrement à cœur tout au long de sa vie et de sa carrière.
Le Québec a, depuis 1968, un ministère de l’Immigration et, grâce aux accords conclus depuis lors avec le gouvernement fédéral, il gère une partie de l’immigration permanente (essentiellement les immigrants dits « économiques ») et de l’immigration temporaire. Lorsque le Québec deviendra indépendant, il bénéficiera donc d’une certaine expérience en matière de gestion de l’immigration internationale. Cette expérience sera très utile, car le passage de ce ministère provincial de l’immigration au ministère d’un État indépendant représente bien plus qu’un saut quantitatif, il constitue aussi un saut qualitatif.
L’annonce par Michael Sabia d’une réévaluation du projet Berri-2, teintée de contrition, ne fait que confirmer une réalité incontournable : ce projet n’a jamais obtenu l’adhésion des milieux concernés.
La confiance dans les institutions est un des socles de la démocratie. Il arrive parfois que cette confiance soit ébranlée par des décisions qui semblent nuisibles, voire contraires à l’intérêt public et au bien commun. Dans de telles circonstances, la mobilisation citoyenne est une des avenues qui peut être empruntée pour faire connaître un désaccord, ou manifester une désapprobation profonde.
Dans une réaction à la prise de position de personnalités qui contestent la décision d’Hydro-Québec de vouloir construire un poste à 315-25 kV sur la rue Berri1, Graham Fox, le V.-P. relations publiques, soutient qu’il comprend mal cette position dans la mesure où le projet en serait à ses balbutiements. En outre, s’empresse-t-il d’enchaîner, la société d’État entend soumettre le projet à un concours d’architecture. Est-ce vraiment le principal enjeu de cette implantation ? Rappelons quelques faits.