
Mené dans l’ombre, un mauvais coup
Au milieu de la seconde décennie de notre siècle, vers 2017 ou 2018, au sein des quartiers généraux de la société d’État Hydro-Québec, fleuron mondial de nos vastes ressources d’hydroélectricité, de leur harnachement, de leur distribution, de leur traversée des plus difficiles territoires, il est question d’un projet urbain dont la nécessité fait consensus. Rien de plus honnête, utile, vertueux, désirable, que de travailler aux premières étapes de construction, à Montréal, d’un imposant poste de transformation électrique.