La monarchie britannique, toxique depuis 1760
Censée réaffirmer la «souveraineté» du Canada, la visite du roi Charles III a évidemment soulevé son lot de critiques. On reste cependant étonné par la minceur des arguments avancés par ses détracteurs qui répètent essentiellement que la monarchie serait démodée et coûte trop cher. L’objectif ici est d’étoffer cette critique