Défense et illustration de l’indice de vitalité des langues
L’Office québécois de la langue française (OQLF) a fait une découverte étonnante: au dire de son contractuel attitré, Michel Paillé, l’indice de vitalité des langues serait un concept mal fondé qui ne contribue en rien à comprendre la dynamique des langues[1]. Paru en septembre dernier, le