Nation nationalisme indépendance

Si j’étais chef… (sans prétention aucune au poste)

Vendredi, 26 octobre 2007, au Lion d’Or, je participais avec plaisir au repas festif du quatre-vingt-dixième anniversaire de la revue L’Action nationale. Encore une fois, Jacques Parizeau m’a émerveillé par un exposé aussi précis que concis dont je retiens que « la souveraineté du Québec, dans le contexte de l’actuelle

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Pour bonifier la loi sur l’identité

En proposant un « bill omnibus » sur l’identité, le Parti québécois de Pauline Marois a rompu avec ce qu’on a alternativement décrit comme la « mauvaise conscience » (Jacques Beauchemin, L’histoire en trop, VLB Éditeur, 2002) ou la « dénationalisation » (Mathieu Bock-Côté, La dénationalisation tranquille, Boréal, 2007) de

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Savoir durer

La revue L’Action nationale célèbre cette année ses 90 ans d’existence. Elle occupe une place unique dans l’histoire intellectuelle du Québec parce qu’elle a su résister à l’usure du temps et qu’elle a attiré les penseurs les plus aguerris. Cette exceptionnelle longévité s’explique par la pertinence de ses choix éditoriaux

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Dialogue sur le multiculturalisme québécois

Mathieu Bock-Côté s’impose aujourd’hui comme un des critiques les plus pertinents du multiculturalisme à la québécoise. Il n’a de cesse de critiquer la religion multiculturelle et le politiquement correct qui lui sert de machine à censurer. Dans son livre La dénationalisation tranquille, il propose une critique très sévère de la

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Une impatience nécessaire

L’indépendantisme n’est pas comme le nationalisme un mouvement ethnique, assimilant les luttes pour la sauvegarde de la nation aux luttes pour la sauvegarde de la langue et autres caractéristiques et valeurs culturelles, sociales ou religieuses. L’indépendantisme, c’est une volonté et une stratégie de conquête du pouvoir étatique pour libérer la

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2007

Les mouvements lents et souterrains des sociétés échappent à l’attention, mais ils n’en travaillent pas moins le corps social. On n’en est guère plus conscient qu’un individu ne l’est des phénomènes physiologiques dont son propre corps est le siège. La vie continue et c’est tout.

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Faire sa propre Histoire

J’avais quinze ans, j’étudiais à l’école Pie IX de Montréal-Nord, j’étais insoumis et rebelle, je dirigeais L’Envol, un journal dans lequel Jean-Marc Brunet écrivait une chronique sur l’indépendance du Québec. C’était à l’époque où le naturopathe Raymond Barbeau parlait de la Laurentie comme d’un pays à faire naître sur les

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