Éloge de la défaite
Quand j’envoie un article au Devoir, j’ai l’impression de redevenir un gamin de troisième année B. À chaque fois, une petite maîtresse d’école, qui me rappelle les « pisseuses » d’autrefois, me tire les oreilles, me tape sur les doigts et menace de me coller un petit ange en couleur sur mon devoir si je continue à dire des