Robert Dion

Victor-Lévy Beaulieu, la langue de Joyce

[…] traduire Finnegans Wake est une entreprise presque désespérée. J’ai beaucoup appris en la fréquentant : si je ne suis guère plus bilingue qu’avant, je sais mieux pourquoi je ne veux pas le devenir vraiment. Victor-Lévy Beaulieu, James Joyce, l’Irlande, le Québec, les mots, p. 966-967. Déjà, dans Monsieur Melville1, Victor-Lévy

Lire la suite »