L’Action nationale remettra ses prix le 12 juin 2017 à 17h30 à la Maison Ludger-Duvernay
82, rue Sherbrooke Ouest à Montréal
Entrée libre, vin d’honneur, bienvenue!
RSVP
Le prix Richard-Arès du meilleur essai publié en 2016 sera remis à Guillaume Rousseau pour L’État-nation face aux régions publié chez Septentrion:
«L’imposant ouvrage de celui qui s’est vu deux fois attribuer le prix André-Laurendeau pour le meilleur article dans L’Action nationale a pour origine une thèse reconnue par le prix de thèse de l’Université de Sherbrooke ainsi que du Consulat de France au Québec et du ministère des Relations internationales. Comme l’auteur l’écrit dans son introduction, il a l’audace de soutenir que la décentralisation peut avoir une fin identitaire. Il offre une revue exhaustive des raisons qui militent en ce sens. Son ambition consiste à convaincre ses lecteurs et les décideurs que la décentralisation – qui prend la forme de la régionalisation – se veut bien davantage qu’une question d’efficacité économique ou de démocratie. En effet, à ses yeux, elle se rapporte à la définition même de ce que sont les Québécois et les Français.»
Le prix André-Laurendeau du meilleur article dans la revue en 2016 sera remis à Louis Gill pour » Endettement et austérité » publié en janvier 2016:
«Voilà le type d’articles qui fait la réputation de L’Action nationale depuis 100 ans. Il s’agit d’une véritable enquête visant à déterminer le poids de la dette québécoise. Si la préoccupation pour l’élimination du déficit (le déficit zéro) remonte aux années Bouchard, la véritable obsession pour la diminution de la dette, elle, remonte aux premières années du gouvernement Charest. Depuis ce temps, un discours dominant s’est constitué, qui prétend que le Québec croule sous sa dette. C’est officiellement pour cette raison que des mesures d’austérité sans précédent ont été prises sous les libéraux, particulièrement sous le gouvernement Couillard.
Or, dans les faits, qu’en est-il?»
Or, dans les faits, qu’en est-il?»