VLB-Joyce

Victor-Lévy Beaulieu, la langue de Joyce

[…] traduire Finnegans Wake est une entreprise presque désespérée. J’ai beaucoup appris en la fréquentant : si je ne suis guère plus bilingue qu’avant, je sais mieux pourquoi je ne veux pas le devenir vraiment. Victor-Lévy Beaulieu, James Joyce, l’Irlande, le Québec, les mots, p. 966-967. Déjà, dans Monsieur Melville1, Victor-Lévy

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Un gombo de roche gonzo

(stratégies langagières chez Joyce et chez VLB…) Dans mon rêve, je visitais une exposition sur Victor-Lévy Beaulieu. Il y avait une photo d’un des endroits où il avait vécu. Dans le rêve, je ne vois pas ce qu’il y a sur la photo. Ce sont des mots qui prennent toute

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La Grande Tribu – C’est la faute à Papineau

Extrait du premier chapitre à paraître de l’ouvrage en titre Je suis vivant et j’ai hâte. Mais vivant comment et hâte pourquoi, je ne sais pas bien, ni pour le fond ni pour la forme. Le docteur Avincenne dit que c’est la faute à Papineau, que mon passé est plein

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