Pierre Rouve

Le poisson pourrit par la tête

Aïe, mais où avais-je les yeux ? À peine le temps de me retourner, gentiment bercé depuis deux ou trois décennies et à ma plus grande satisfaction, par la volonté enfin affichée de ne plus oublier les femmes, de féminiser les noms de professions, de défendre et respecter leurs corps, leur

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