
Chers amis de L’Action nationale,
Chers Vouleurs de rire,
Chers indépendantistes,
Je suis plus qu’honoré de pouvoir contribuer à mon tour à la suite des choses en m’impliquant dans la campagne de financement 2025 de L’Action nationale.
L’Action nationale jouit d’une riche histoire, façonnée à travers les époques par des gens d’une exceptionnelle qualité. En 2025, nous devons constater que notre travail, loin d’être terminé, commence. Malgré l’immense collaboration de ces gens à l’Édification nationale, notre objectif de faire du Québec un pays n’est pas encore atteint.
C’était vrai il y a cent ans, c’était vrai il y en a cinquante, ça l’est toujours, peut-être encore plus aujourd’hui avec la dynamique mise en place par le nouveau président des États-Unis : les contextes changent mais la souveraineté, une fois réalisée, permet aux peuples d’agir selon leur propre personnalité, d’avoir une prise sur leur propre réalité, tout en restant eux-mêmes. Peu importe l’enjeu. Peu importe l’époque. Nos adversaires aimeraient nous convaincre que nous devons, une fois de plus, nous réfugier sous la jupe du Canada. Pourtant, nous le savons tous : jamais dans son histoire, le Canada n’a protégé le Québec. Je ne comprends pas comment nous avons pu laisser s’installer un tel narratif. Il n’y a pas de mauvais moment pour défendre son pays et travailler à sa naissance.
Chacune de nos actions en faveur de l’indépendance nous rapproche de notre objectif. Ces actions peuvent être très simples : insister pour utiliser le français au quotidien, soulever les situations (et nous savons qu’il y en a beaucoup) qui démontrent le sidérant illogisme du régime dans lequel nous évoluons et l’aliénation de notre vigueur collective qui découle de cette tutelle, ainsi que les formidables opportunités que la souveraineté pourra offrir à un Québec pays.
Contribuer à la campagne de financement de L’Action nationale est aussi une action qui nous rapproche de notre objectif.
L’indépendance ne se fera pas par elle-même ; elle ne tombera pas du ciel. Nous devrons aller la chercher. Ayons le courage de redevenir ce que nous avons toujours été : des explorateurs, des découvreurs, des défricheurs, des bâtisseurs, des inventeurs, des pionniers, de chaleureux bons vivants, plus grands que nature, qui chantent en avançant. Le cœur, les oreilles et les bras ouverts. La lumière dans l’œil. L’assurance et la fermeté dans le geste et l’action… nationale.
Courage… et à l’ouvrage.
Daniel Boucher



