L’Action nationale aura 100 ans en 2017

logo100eBLEUUne revue d’idées centenaire, c’est un exploit non seulement à l’échelle du Québec mais à celle de l’Occident tout entier.

Il y a trois sortes de revues d’idées :

  • celles qui ne survivent pas à la dissolution du comité de rédaction qui les a fondées (par exemple Parti pris),
  • celles qui restent fixées dans un certain discours que l’évolution de la société rend périmé (par exemple Cité Libre),
  • et enfin celles qui durent. Celles-là ont une personnalité bien affirmée, mais elles savent aussi se renouveler à chaque époque, éclairer les enjeux du présent, trouver des solutions, mobiliser les énergies. L’Action nationale est de cette trempe depuis cent ans.

La revue a traversé un siècle sans subventions publiques. Ceux qui la font et ceux qui la lisent ont eu en commun quelques projets essentiels tout au long de ces décennies : la volonté que les Québécois s’épanouissent comme peuple de langue française en Amérique du Nord, et la volonté que le Québec ait un meilleur contrôle sur son propre destin. Il en a fallu des combats ! Et il en faut encore ! La revue a participé à tous et chacun d’entre eux. Et toujours, tous ses artisans ont été des bénévoles qui ont, chacun à sa manière, assumé personnellement le sort du Canada français puis du Québec. Ils ont payé de leur temps, de leurs idées, et même de leur argent pour que la revue accompagne notre nation et maintienne ouvertes les fenêtres de l’espoir.

Pour les 100 ans de L’Action nationale, nous souhaitons augmenter le nombre de nos abonnés. Soutenir la revue, la lire, la faire lire est essentiel pour continuer à nourrir notre nationalisme; pour continuer à « penser nation », « discuter nation », « agir nation » !

Pour nous aider, pourriez-vous vous abonner vous-même si ce n’est déjà fait?

Merci d’avance.
Lucia Ferretti

logo100eBLEUUne revue d’idées centenaire, c’est un exploit non seulement à l’échelle du Québec mais à celle de l’Occident tout entier.

Il y a trois sortes de revues d’idées :

  • celles qui ne survivent pas à la dissolution du comité de rédaction qui les a fondées (par exemple Parti pris),
  • celles qui restent fixées dans un certain discours que l’évolution de la société rend périmé (par exemple Cité Libre),
  • et enfin celles qui durent. Celles-là ont une personnalité bien affirmée, mais elles savent aussi se renouveler à chaque époque, éclairer les enjeux du présent, trouver des solutions, mobiliser les énergies. L’Action nationale est de cette trempe depuis cent ans.

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