VLB et Joyce : rencontre sur les sommets de la littérature
La publication du livre colossal que Victor-Lévy Beaulieu a consacré à Joyce représente rien de moins qu’un événement dont le titre même signale la pleine mesure.
La publication du livre colossal que Victor-Lévy Beaulieu a consacré à Joyce représente rien de moins qu’un événement dont le titre même signale la pleine mesure.
Les pétitions d’ignorance ou de non-savoir que Beaulieu aime à multiplier ne sont peut-être que des coquetteries de roué: une façon, bien sûr, de se placer sur un autre terrain que celui des universitaires, de situer le savoir sur un plan supérieur, celui où il se transmue en connaissance, c’est-à-dire en quelque chose de plus intime et de moins aisément
Dans mon rêve, je visitais une exposition sur Victor-Lévy Beaulieu. Il y avait une photo d’un des endroits où il avait vécu. Dans le rêve, je ne vois pas ce qu’il y a sur la photo. Ce sont des mots qui prennent toute la place. Et ces mots me disent que VLB vivait près d’un gombo de roche gonzo. Je
Je suis vivant et j’ai hâte. Mais vivant comment et hâte pourquoi, je ne sais pas bien, ni pour le fond ni pour la forme. Le docteur Avincenne dit que c’est la faute à Papineau, que mon passé est plein de cette faute-là, que c’est pareil pour mon présent et que ça ne sera pas mieux dans mon avenir.