Un combat qui n’est pas livré
En 1970, Pierre Vadeboncoeur écrivait dans La Dernière heure et la première : « Ce qu’il y a de nouveau pour nous dans le temps actuel, c’est que nous ne sommes plus portés par l’histoire et que, pleinement pour la première fois peut-être, nous avons à décider de demeurer ou de partir ». Ce que Vadeboncoeur écrivait alors, il y a quarante ans, est encore plus juste aujourd’hui, plus pressant, plus alarmant.