Un Québécois à Colombey
Fin mai début juin, j’ai passé une douzaine de jours à Paris. L’effondrement électoral des souverainistes le 7 avril m’avait abattu. Normalement, je vais bien, et si je n’aime franchement pas le monde dans lequel je vis, comme bien des hommes confessant un penchant antimoderne, je demeure sans trop savoir pourquoi, serein devant l’existence. Je suis d’un naturel joyeux. Du