Sébastien Proulx. Un Québec libre est un Québec qui sait lire et écrire
Fréquenter les plateformes web des grands partis politiques québécois est souvent d’un mortel ennui. On n’y apprend jamais plus qu’on en savait déjà. Le seul constat à en tirer consiste à prendre acte des ravages sur la pensée politique qu’exercent les « communicants », ces évêques qui règnent en maîtres sur la cité.